Voici quelques exemples divers, provenant d’études de géobiologie faites en Europe :

• Un couple dort dans la même chambre dans des lits individuels. Un cancer des ovaires est détecté et la dame finit par en mourir. Le mari décide d’utiliser le lit de sa femme plus près de la porte et plus pratique. Il développe un cancer des testicules. Surpris et intrigué, il fait venir un géobiologue qui trouve et harmonise un point géopathogène à l’endroit correspondant sur le lit. L’homme recommence à utiliser son lit et le cancer disparaît.

• Un médecin loue un appartement à usage professionnel dans lequel sont passés trois autres professionnels tous décédés sur place sur une période de 15 ans. Rapide et considérable affaiblissement des forces physiques du médecin, diminution du rendement intellectuel, travail pénible, sommeil agité, modification du caractère, de la sensibilité, vertiges, éblouissement, palpitations, angoisse cardiaque ; le tout encore plus exagéré par temps clair et ensoleillé. L’infirmière avait aussi de ces symptômes. À noter également que les locataires de l’immeuble souffraient d’affections diverses mais ayant des traits communs.
Il y a eu des consultations de médecins reconnus, tests de laboratoire, traitements en tout genre, sans résultat positif.
Un pharmacien vint sur place avec ses conseils et dispositifs, sans résultat.
Un célèbre abbé fut consulté. Il travailla à distance avec plan et témoin. Résultat très net. Appartement exposé à de très fortes radiations nocives, zone pathogène considérable.; il faut s’attendre à un épuisement tel que l’organisme ne pourra résister à aucune maladie. Mais aucun détail sur la source et aucune correction n’est réalisée.
Une bonne radiesthésiste prit l’affaire en main. Elle trouva qu’un cours d’eau souterrain passait sous l’immeuble ; il venait d’un cimetière où il se polluait effroyablement avant de continuer sa route en semant maladie et mort sur son passage.
Dans les ondes provenant du courant d’eau, on retrouvait les ondes de 8 microbes bien connus qui étaient la cause de tout le mal . Un dispositif fut installé et l’appartement cessa d’être dangereux.

• Un radiesthésiste se déplace dans un village. Dans la rue, il croise 3 fillettes, L’une d’elles a le visage et les mains couverts de pustules rougeâtres. Il les suit, se présente aux parents et s’enquiert au sujet des fillettes. On le fait monter à l’étage. Parmi les 3 lits alignés contre le mur, il désigne sans hésiter celui de la fillette malade. Il explique alors qu’un rideau tellurique nocif sort du sol face à la maison, s’élève de biais, fait mourir la branche principale d’un sapin qui se trouve sur son passage, pénètre dans la chambre et investit le lit de la fillette. Sur ses conseils, on déplace le lit de manière a éviter les ondes nocives en question. Deux semaines plus tard, la fillette est guérie.

• Un cheminot retraité, jovial, bon vivant, pesant 80 Kg choisit une petite maison : chasse, pêche, bon air, etc. Et puis tout change : il passe à 60 Kg, son caractère s’aigrit, lassitude, malaises en série, etc. Il croit qu’on l’empoisonne. Radiographie : elle révèle la tache caractéristique d’un cancer à l’intestin. Visage émacié, oreilles jaunes et parcheminées.
Le radiesthésiste détecte 3 courants souterrains sous la maison dont le principal passe directement sous le lit. Tout s’explique. Enfin, il se décide à quitter la belle maison et retourne dans son pays près de sa vieille mère. Quand on lui demande de ses nouvelles, il répond, gaillard : ” Mais je vais très bien, ma santé est florissante, j’ai repris mon poids normal. ” Tout cela s’est fait avec quels remèdes ? Avec quelle opération ? Simplement en allant vivre ailleurs : dans un lieu sain.
Bien sûr, le problème aurait probablement pu être résolu sans déménager.

• Voici un cas typique : Une femme, 30 ans, bien vivante, sportive ; tout va bien. Elle déménage dans un immeuble très moderne. Trois mois plus tard : amaigrissement, dépression, mal au fond de la gorge. Elle passe de spécialiste en spécialiste, de clinique en clinique, pour aboutir à l’immobilité complète. Elle est méconnaissable…
Enfin, le géobiologue passe. Qu’est-ce qu’on détecte? Vous vous en doutez : un fort point géopathogène dans la région du cou, dans son lit. Elle change de lit avec son mari. Celui-ci fut si irrité devant le fait flagrant de la nocivité de ce lit-là, qu’il change immédiatement d’emplacement. La femme se remet rapidement. Elle n’avait rien, mais le point négatif était là, actif et silencieux. Sans l’intervention du géobiologue, que serait-il advenu de cette malheureuse femme ? Hospitalisée, mise sous médication ?

• Un chien, attaché au mur extérieur d’une chambre se mit à dépérir si visiblement que le fils de la maison fit venir un expert en ondes nocives. Celui-ci détecta la présence d’une veine d’eau souterraine à fort débit. Or, cet écoulement aqueux tout proche inondait de radiations pathogènes à la fois la chambre de la maîtresse de maison, gravement malade et alitée, et la niche du chien. Tout s’éclaira alors d’un seul coup, et la femme et le chien furent délivrés en même temps de leur asservissement vibratoire.

• Un couple avec 3 enfants ne comprend pas pourquoi un de leurs garçons est toujours agité lorsqu’il est à table et ne l’est pas plus que les autres à d’autres moments. Un point est trouvé au niveau de l’endroit où il s’assoit pour manger. Ils le changent de place et tout redevient normal.

• Double cause pour méfait tellurique sur bête et gens.
Un ancien marécage et un vieux cimetière envoient leurs ondes nocives. Mais l’immeuble est récent, moderne, accueillant. La dame est très malade, au seuil de l’opération chirurgicale, le chien est paralysé. On laisse faire le spécialiste puisque personne d’autre ne se présente pour remise en ordre et redressement de la situation.
Un circuit oscillant est placé autour du tronc du chien; une étoffe bleue est étendue sous son panier de repos; judicieusement on place çà et là, des bouteilles d’huile. Il guérit rapidement. Devant ce rétablissement spectaculaire, la dame décide de surseoir à son opération, car à présent elle a confiance. On demande donc une prospection plus poussée.
On trouve alors deux autres émanations nocives non telluriques. L’une provient d’une belle peinture à l’huile (un noir en grandeur nature), l’autre d’un tableau représentant des rameurs de pirogue africaine. Deux rayonnements donc ; Ils traversent le lit conjugal et le bureau du mari. On relégua les peintures au grenier dans du papier noir. Aux endroits convenables, on plaça des absorbants et des circuits oscillants. La dame guérit, le mari fut débarrassé de sa tenace insomnie et le chien gambade comme avant…

• Rien n’a changé ni dans la maison, ni dans les habitudes de vie. Pourtant, ce solide jeune homme (20 ans) ne dort plus; il perd sa vitalité. Que découvre-t-on finalement?
D’un courant d’eau souterrain s’échappait un rideau électromagnétique violent. Celui-ci passait au-dessus du lit sans faire grand mal, mais on avait “réutilisé” une couverture et un édredon qui avaient séjourné sur le lit d’une cousine décédée à la suite d’un long cancer. Les imprégnations de ces pièces de literie avaient été portées à un haut degré de virulence par le rideau électromagnétique en question. Et le jeune homme, à son tour, avait été, en quelque sorte, “cancérisé” du dehors.
Dormant ailleurs et dans une literie neuve, il redevint le solide gaillard qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être…’
Dans une situation sans ondes nocives, la literie se serait “désimprégnée” progressivement sans nuire au jeune homme.

• La mémoire des murs : Un chercheur en biologie (et ornithologiste) avait loué un pavillon dans les environs de Paris. Pour la réussite de ses investigations, il crut nécessaire de tuer lentement (de martyriser avec sadisme) des centaines d’oiseaux de toutes espèces; après quoi il quitta la localité.
On loua le pavillon à un brave couple d’ouvriers en retraite. Au bout de 6 mois, ils furent littéralement exténués, dévitalisés, dégoûtés (claqués et vidés comme disaient leurs voisins), Et nul ne savait exactement pour quelles raisons. Le jeune couple qui leur succéda résista beaucoup moins longtemps. Le troisième couple, averti par la rumeur publique, mais encore quelque peu sceptique, déguerpit encore plus rapidement.
Le lieu fût détruit, mais cela ne suffit pas. Il faut une cérémonie de purification accomplie par des connaisseurs.

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Voici quelques exemples divers, provenant d’études de géobiologie faites en Europe :

• Un couple dort dans la même chambre dans des lits individuels. Un cancer des ovaires est détecté et la dame finit par en mourir. Le mari décide d’utiliser le lit de sa femme plus près de la porte et plus pratique. Il développe un cancer des testicules. Surpris et intrigué, il fait venir un géobiologue qui trouve et harmonise un point géopathogène à l’endroit correspondant sur le lit. L’homme recommence à utiliser son lit et le cancer disparaît.

• Un médecin loue un appartement à usage professionnel dans lequel sont passés trois autres professionnels tous décédés sur place sur une période de 15 ans. Rapide et considérable affaiblissement des forces physiques du médecin, diminution du rendement intellectuel, travail pénible, sommeil agité, modification du caractère, de la sensibilité, vertiges, éblouissement, palpitations, angoisse cardiaque ; le tout encore plus exagéré par temps clair et ensoleillé. L’infirmière avait aussi de ces symptômes. À noter également que les locataires de l’immeuble souffraient d’affections diverses mais ayant des traits communs.
Il y a eu des consultations de médecins reconnus, tests de laboratoire, traitements en tout genre, sans résultat positif.
Un pharmacien vint sur place avec ses conseils et dispositifs, sans résultat.
Un célèbre abbé fut consulté. Il travailla à distance avec plan et témoin. Résultat très net. Appartement exposé à de très fortes radiations nocives, zone pathogène considérable.; il faut s’attendre à un épuisement tel que l’organisme ne pourra résister à aucune maladie. Mais aucun détail sur la source et aucune correction n’est réalisée.
Une bonne radiesthésiste prit l’affaire en main. Elle trouva qu’un cours d’eau souterrain passait sous l’immeuble ; il venait d’un cimetière où il se polluait effroyablement avant de continuer sa route en semant maladie et mort sur son passage.
Dans les ondes provenant du courant d’eau, on retrouvait les ondes de 8 microbes bien connus qui étaient la cause de tout le mal . Un dispositif fut installé et l’appartement cessa d’être dangereux.

• Un radiesthésiste se déplace dans un village. Dans la rue, il croise 3 fillettes, L’une d’elles a le visage et les mains couverts de pustules rougeâtres. Il les suit, se présente aux parents et s’enquiert au sujet des fillettes. On le fait monter à l’étage. Parmi les 3 lits alignés contre le mur, il désigne sans hésiter celui de la fillette malade. Il explique alors qu’un rideau tellurique nocif sort du sol face à la maison, s’élève de biais, fait mourir la branche principale d’un sapin qui se trouve sur son passage, pénètre dans la chambre et investit le lit de la fillette. Sur ses conseils, on déplace le lit de manière a éviter les ondes nocives en question. Deux semaines plus tard, la fillette est guérie.

• Un cheminot retraité, jovial, bon vivant, pesant 80 Kg choisit une petite maison : chasse, pêche, bon air, etc. Et puis tout change : il passe à 60 Kg, son caractère s’aigrit, lassitude, malaises en série, etc. Il croit qu’on l’empoisonne. Radiographie : elle révèle la tache caractéristique d’un cancer à l’intestin. Visage émacié, oreilles jaunes et parcheminées.
Le radiesthésiste détecte 3 courants souterrains sous la maison dont le principal passe directement sous le lit. Tout s’explique. Enfin, il se décide à quitter la belle maison et retourne dans son pays près de sa vieille mère. Quand on lui demande de ses nouvelles, il répond, gaillard : ” Mais je vais très bien, ma santé est florissante, j’ai repris mon poids normal. ” Tout cela s’est fait avec quels remèdes ? Avec quelle opération ? Simplement en allant vivre ailleurs : dans un lieu sain.
Bien sûr, le problème aurait probablement pu être résolu sans déménager.

• Voici un cas typique : Une femme, 30 ans, bien vivante, sportive ; tout va bien. Elle déménage dans un immeuble très moderne. Trois mois plus tard : amaigrissement, dépression, mal au fond de la gorge. Elle passe de spécialiste en spécialiste, de clinique en clinique, pour aboutir à l’immobilité complète. Elle est méconnaissable…
Enfin, le géobiologue passe. Qu’est-ce qu’on détecte? Vous vous en doutez : un fort point géopathogène dans la région du cou, dans son lit. Elle change de lit avec son mari. Celui-ci fut si irrité devant le fait flagrant de la nocivité de ce lit-là, qu’il change immédiatement d’emplacement. La femme se remet rapidement. Elle n’avait rien, mais le point négatif était là, actif et silencieux. Sans l’intervention du géobiologue, que serait-il advenu de cette malheureuse femme ? Hospitalisée, mise sous médication ?

• Un chien, attaché au mur extérieur d’une chambre se mit à dépérir si visiblement que le fils de la maison fit venir un expert en ondes nocives. Celui-ci détecta la présence d’une veine d’eau souterraine à fort débit. Or, cet écoulement aqueux tout proche inondait de radiations pathogènes à la fois la chambre de la maîtresse de maison, gravement malade et alitée, et la niche du chien. Tout s’éclaira alors d’un seul coup, et la femme et le chien furent délivrés en même temps de leur asservissement vibratoire.

• Un couple avec 3 enfants ne comprend pas pourquoi un de leurs garçons est toujours agité lorsqu’il est à table et ne l’est pas plus que les autres à d’autres moments. Un point est trouvé au niveau de l’endroit où il s’assoit pour manger. Ils le changent de place et tout redevient normal.

• Double cause pour méfait tellurique sur bête et gens.
Un ancien marécage et un vieux cimetière envoient leurs ondes nocives. Mais l’immeuble est récent, moderne, accueillant. La dame est très malade, au seuil de l’opération chirurgicale, le chien est paralysé. On laisse faire le spécialiste puisque personne d’autre ne se présente pour remise en ordre et redressement de la situation.
Un circuit oscillant est placé autour du tronc du chien; une étoffe bleue est étendue sous son panier de repos; judicieusement on place çà et là, des bouteilles d’huile. Il guérit rapidement. Devant ce rétablissement spectaculaire, la dame décide de surseoir à son opération, car à présent elle a confiance. On demande donc une prospection plus poussée.
On trouve alors deux autres émanations nocives non telluriques. L’une provient d’une belle peinture à l’huile (un noir en grandeur nature), l’autre d’un tableau représentant des rameurs de pirogue africaine. Deux rayonnements donc ; Ils traversent le lit conjugal et le bureau du mari. On relégua les peintures au grenier dans du papier noir. Aux endroits convenables, on plaça des absorbants et des circuits oscillants. La dame guérit, le mari fut débarrassé de sa tenace insomnie et le chien gambade comme avant…

• Rien n’a changé ni dans la maison, ni dans les habitudes de vie. Pourtant, ce solide jeune homme (20 ans) ne dort plus; il perd sa vitalité. Que découvre-t-on finalement?
D’un courant d’eau souterrain s’échappait un rideau électromagnétique violent. Celui-ci passait au-dessus du lit sans faire grand mal, mais on avait “réutilisé” une couverture et un édredon qui avaient séjourné sur le lit d’une cousine décédée à la suite d’un long cancer. Les imprégnations de ces pièces de literie avaient été portées à un haut degré de virulence par le rideau électromagnétique en question. Et le jeune homme, à son tour, avait été, en quelque sorte, “cancérisé” du dehors.
Dormant ailleurs et dans une literie neuve, il redevint le solide gaillard qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être…’
Dans une situation sans ondes nocives, la literie se serait “désimprégnée” progressivement sans nuire au jeune homme.

• La mémoire des murs : Un chercheur en biologie (et ornithologiste) avait loué un pavillon dans les environs de Paris. Pour la réussite de ses investigations, il crut nécessaire de tuer lentement (de martyriser avec sadisme) des centaines d’oiseaux de toutes espèces; après quoi il quitta la localité.
On loua le pavillon à un brave couple d’ouvriers en retraite. Au bout de 6 mois, ils furent littéralement exténués, dévitalisés, dégoûtés (claqués et vidés comme disaient leurs voisins), Et nul ne savait exactement pour quelles raisons. Le jeune couple qui leur succéda résista beaucoup moins longtemps. Le troisième couple, averti par la rumeur publique, mais encore quelque peu sceptique, déguerpit encore plus rapidement.
Le lieu fût détruit, mais cela ne suffit pas. Il faut une cérémonie de purification accomplie par des connaisseurs.

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